Dans ce troisième volet des Chroniques, nous retrouvons la très spéciale "famille" du 28 Barbary Lane, cette fois à l'aube des années 80 et plus que jamais en proie à des aventures abracadabrantes : entre une course poursuite en Alaska, un rodéo gay au Nevada, un week-end de star à Hollywood et la séquestration d'une présentatrice de télé dans la cave de Mme Madrigal - tandis que Michael poursuit sa recherche du Prince Charmant -, le lecteur n'aura guère le temps de souffler...
Je continue ma découverte des Chroniques de San Francisco avec ce troisième tome qui m'aura réservé encore bien des surprises et des scènes rocambolesques.
C'est incroyable de voir à quel point je suis rapidement devenue accro à cette saga. A peine ai-je lu un tome que j'ai déjà envie de me plonger dans le suivant. Malheureusement celui-ci était le dernier en ma possession, je vais donc devoir attendre avec de découvrir la suite.
Quelques années ont passés entre la fin du tome précédent et celui-ci, ce qui fait qu'on a besoin d'un petit temps d'adaptation pour se remettre les idées en place.
Mais un fois les quelques premiers chapitres lus, on est de nouveau dans l'ambiance, prêts à suivre les frasque de Michael et Mary Ann.
Evidemment les autres personnages ne sont pas en reste, mais ce sont véritablement ces deux-là qui rythment le récit et mettent l'ambiance, chacun à sa manière.
Une nouvelle fois, Armistead Maupin nous propose une histoire haute en couleur et complètement farfelue, même si ce dernier se base sur des événements qui ont réellement eu lieu. Et c'est une nouvelle fois DeDe qui va en faire les frais.
Échappée de justesse au massacre du Guyana, la mère d'Edgar et Anna revient en ville et confie à Mary Ann le soin de raconter son histoire.
Mais comme à chaque fois, rien ne va se passer comme prévu et le lecteur va se retrouver embarqué dans une nouvelle histoire foncièrement loufoque.
Cependant, c'est cela que l'on aime dans les Chroniques de San Francisco: partir complètement à la dérive et suivre l'auteur dans ses délires.
Même si en parallèle on apprécie également suivre l'évolution de la communauté LGBT de la ville, sous l'influence bienveillante de Michael.
Bizarrement, ces deux pendants du roman s'accordent à la perfection. On ne sait par quel miracle c'est possible, mais l'un ne va finalement pas sans l'autre.
Plus d'une fois j'ai eu un fou-rire durant ma lecture. Certains passages sont tout simplement hilarants, que ce soit vis-à-vis de la situation où par rapport à la manière dont Armistead Maupin a choisi de la décrire. Le style de l'auteur n'est peut-être pas le plus lyrique, mais il faut avouer qu'il n'a pas son pareil pour créer des situations et des dialogues qui sortent de l'ordinaire.
En conclusion, faut-il encore que je vous décrive en long et en large mon amour pour les Chroniques de San Francisco? Parce que sincèrement, je pense avoir été plus que convaincante au cours de cet avis, ainsi que dans les deux précédents.
Et si vous n'êtes pas encore totalement convaincu, il n'y a qu'une seule solution: vous plonger vous-même dans l'aventure, afin de vous faire votre propre avis.
Croyez-moi, vous ne serez pas déçus !
Quelques années ont passés entre la fin du tome précédent et celui-ci, ce qui fait qu'on a besoin d'un petit temps d'adaptation pour se remettre les idées en place.
Mais un fois les quelques premiers chapitres lus, on est de nouveau dans l'ambiance, prêts à suivre les frasque de Michael et Mary Ann.
Evidemment les autres personnages ne sont pas en reste, mais ce sont véritablement ces deux-là qui rythment le récit et mettent l'ambiance, chacun à sa manière.
Une nouvelle fois, Armistead Maupin nous propose une histoire haute en couleur et complètement farfelue, même si ce dernier se base sur des événements qui ont réellement eu lieu. Et c'est une nouvelle fois DeDe qui va en faire les frais.
Échappée de justesse au massacre du Guyana, la mère d'Edgar et Anna revient en ville et confie à Mary Ann le soin de raconter son histoire.
Mais comme à chaque fois, rien ne va se passer comme prévu et le lecteur va se retrouver embarqué dans une nouvelle histoire foncièrement loufoque.
Cependant, c'est cela que l'on aime dans les Chroniques de San Francisco: partir complètement à la dérive et suivre l'auteur dans ses délires.
Même si en parallèle on apprécie également suivre l'évolution de la communauté LGBT de la ville, sous l'influence bienveillante de Michael.
Bizarrement, ces deux pendants du roman s'accordent à la perfection. On ne sait par quel miracle c'est possible, mais l'un ne va finalement pas sans l'autre.
Plus d'une fois j'ai eu un fou-rire durant ma lecture. Certains passages sont tout simplement hilarants, que ce soit vis-à-vis de la situation où par rapport à la manière dont Armistead Maupin a choisi de la décrire. Le style de l'auteur n'est peut-être pas le plus lyrique, mais il faut avouer qu'il n'a pas son pareil pour créer des situations et des dialogues qui sortent de l'ordinaire.
En conclusion, faut-il encore que je vous décrive en long et en large mon amour pour les Chroniques de San Francisco? Parce que sincèrement, je pense avoir été plus que convaincante au cours de cet avis, ainsi que dans les deux précédents.
Et si vous n'êtes pas encore totalement convaincu, il n'y a qu'une seule solution: vous plonger vous-même dans l'aventure, afin de vous faire votre propre avis.
Croyez-moi, vous ne serez pas déçus !
Les infos utiles
Le site d'Armistead Maupin
Sa page Facebook
Parution VO: Further Tales of the City - 1982 - Harper & Row
Parution VF: 7 septembre 2000 - Editions 10-18
J'avoue que je suis bien contente d'avoir tous les tomes sous la main, pour cette saga. J'en suis vite devenue accro aussi ^^ Un tome 3 aussi entraînant et dingue que les deux premiers !
RépondreSupprimerAh oui c'est clair qu'il vaut mieux les avoir sous la main, ils se lisent tous seuls.
SupprimerMoi j'essaie de me garder les deux derniers tomes pour quand j'aurai un petit coup de mou ;-)