Comme d'habitude pour ce rendez-vous mensuel, je vous parle des films et séries que j'ai récemment bingés 😉
Les films que j'ai vus chez moi
Julia Child est la femme qui a changé pour toujours la façon de cuisiner de l'Amérique. Mais en 1948, elle n'est encore qu'une Américaine anonyme vivant en France.
Le travail de son mari les a amenés à s'installer à Paris, et Julia cherche activement une occupation. C'est alors qu'elle se prend de passion pour la cuisine française...
Début du XVIIIème siècle. L’Angleterre et la France sont en guerre.
Toutefois, à la cour, la mode est aux courses de canards et à la dégustation d’ananas. La reine Anne, à la santé fragile et au caractère instable, occupe le trône tandis que son amie Lady Sarah gouverne le pays à sa place. Lorsqu’une nouvelle servante, Abigail Hill, arrive à la cour, Lady Sarah la prend sous son aile, pensant qu’elle pourrait être une alliée.
Abigail va y voir l’opportunité de renouer avec ses racines aristocratiques. Alors que les enjeux politiques de la guerre absorbent Sarah, Abigail quant à elle parvient à gagner la confiance de la reine et devient sa nouvelle confidente.
Cette amitié naissante donne à la jeune femme l’occasion de satisfaire ses ambitions, et elle ne laissera ni homme, ni femme, ni politique, ni même un lapin se mettre en travers de son chemin.
Julie & Julia
Julia Child est la femme qui a changé pour toujours la façon de cuisiner de l'Amérique. Mais en 1948, elle n'est encore qu'une Américaine anonyme vivant en France.
Le travail de son mari les a amenés à s'installer à Paris, et Julia cherche activement une occupation. C'est alors qu'elle se prend de passion pour la cuisine française...
Un jour que je ne savais pas quoi regarder sur Netflix, ce dernier m'a proposé ce film. Etant donné que j'aime beaucoup Meryl Streep, je me suis lancée, sans rien en attendre de particulier.
Hé ben c'était plutôt sympa finalement. Ce défi de cuisine de Julie, couplé à la vie de Julia Child, c'était assez divertissant et mignon.
J'ai d'ailleurs beaucoup aimé Amy adams, que j'avais déjà apprécié dans Big Eyes.
Un chouette film sympa, à regarder sans se prendre la tête.
Prenons déjà deux minutes pour nous insurger contre le pitch de ce film, où la méchante femme décide de prendre un peu de temps pour elle en laissant son pauvre mari s'occuper de la maison et des enfants, alors qu'il est sur le point d'avoir une promotion...
Seriously ?
Franchement, je me demande encore pourquoi je m'inflige ce genre de film, alors que le titre annonçait déjà la couleur.
On est clairement en pleine démonstration de l'existence de la charge mentale: mari qui se contente d'aller travailler parce qu'il a un poste à responsabilités, contrairement à sa femme qui n'a "qu'à" s'occuper de la maison.
Et qui n'est évidemment jamais aidée par son mari et encore moins par ses enfants, qui sont de véritables têtes à claque. Pardon mais on ne pouvait pas faire plus caricatural.
La pire scène étant pour moi celle où toute la famille est à table et où personne n'écoute la mère parler.
C'est bien simple, j'ai été énervée tout le long du film. Parce que si le but avait été de dénoncer la charge mentale, j'aurais été ok. Mais là, il n'y a quasiment aucune remise en question de personne, et il faut juste que tout parte en couille dans la situation professionnelle du mari, pour qu'il se dise que finalement la famille c'est cool.
Ouais ok, mais pas sûre que ce soit hyper pertinent.
Bref, ce film m'a énervée.
Oui bon, j'ai continué dans les films français, mais il faut dire que je n'avais particulièrement rien à regarder pendant toute une période... J'ai craqué.
Bon, celui-ci était un peu moins problématique que le précédent, même si honnêtement j'ai grincé des dents quand même.
Mais il y avait bien un ou deux running gag pour relever le truc, donc ça allait.
Alliant prises de vues réelles et animation, L'Appel de la forêt raconte l’histoire de Buck, un chien au grand cœur, dont la paisible vie domestique bascule lorsqu’il est brusquement arraché à sa maison en Californie et se retrouve enrôlé comme chien de traîneau dans les étendues sauvages du Yukon en Alaska, pendant la ruée vers l’or, dans les années 1890.
Buck va devoir s’adapter et lutter pour survivre, jusqu’à finalement vivre l’aventure de sa vie et trouver sa véritable place dans le monde en devenant son propre maître…
Hé ben c'était plutôt sympa finalement. Ce défi de cuisine de Julie, couplé à la vie de Julia Child, c'était assez divertissant et mignon.
J'ai d'ailleurs beaucoup aimé Amy adams, que j'avais déjà apprécié dans Big Eyes.
Un chouette film sympa, à regarder sans se prendre la tête.
10 jours sans maman
Antoine, Directeur des Ressources Humaines d'une grande enseigne de bricolage, est en passe de devenir le numéro 1 de sa boîte. C'est le moment que choisit son épouse, Isabelle, pour faire une pause et prendre l'air quelques jours pour s'occuper d'elle.
Antoine se retrouve alors seul à devoir gérer la maison et leur quatre enfants. Il est vite dépassé par les événements ! Dix jours sans maman qui risquent bien de faire capoter sa nomination.
Antoine se retrouve alors seul à devoir gérer la maison et leur quatre enfants. Il est vite dépassé par les événements ! Dix jours sans maman qui risquent bien de faire capoter sa nomination.
Prenons déjà deux minutes pour nous insurger contre le pitch de ce film, où la méchante femme décide de prendre un peu de temps pour elle en laissant son pauvre mari s'occuper de la maison et des enfants, alors qu'il est sur le point d'avoir une promotion...
Seriously ?
Franchement, je me demande encore pourquoi je m'inflige ce genre de film, alors que le titre annonçait déjà la couleur.
On est clairement en pleine démonstration de l'existence de la charge mentale: mari qui se contente d'aller travailler parce qu'il a un poste à responsabilités, contrairement à sa femme qui n'a "qu'à" s'occuper de la maison.
Et qui n'est évidemment jamais aidée par son mari et encore moins par ses enfants, qui sont de véritables têtes à claque. Pardon mais on ne pouvait pas faire plus caricatural.
La pire scène étant pour moi celle où toute la famille est à table et où personne n'écoute la mère parler.
C'est bien simple, j'ai été énervée tout le long du film. Parce que si le but avait été de dénoncer la charge mentale, j'aurais été ok. Mais là, il n'y a quasiment aucune remise en question de personne, et il faut juste que tout parte en couille dans la situation professionnelle du mari, pour qu'il se dise que finalement la famille c'est cool.
Ouais ok, mais pas sûre que ce soit hyper pertinent.
Bref, ce film m'a énervée.
Joyeuse retraite !
Marilou et Philippe se préparent à leur future retraite au Portugal. Mais leur fille se sépare et tout un cortège de sollicitations s'abat sur eux.
Oui bon, j'ai continué dans les films français, mais il faut dire que je n'avais particulièrement rien à regarder pendant toute une période... J'ai craqué.
Bon, celui-ci était un peu moins problématique que le précédent, même si honnêtement j'ai grincé des dents quand même.
Mais il y avait bien un ou deux running gag pour relever le truc, donc ça allait.
The Call of the Wild
Alliant prises de vues réelles et animation, L'Appel de la forêt raconte l’histoire de Buck, un chien au grand cœur, dont la paisible vie domestique bascule lorsqu’il est brusquement arraché à sa maison en Californie et se retrouve enrôlé comme chien de traîneau dans les étendues sauvages du Yukon en Alaska, pendant la ruée vers l’or, dans les années 1890.
Buck va devoir s’adapter et lutter pour survivre, jusqu’à finalement vivre l’aventure de sa vie et trouver sa véritable place dans le monde en devenant son propre maître…
Je suis une fan de Croc-Blanc, dont j'ai lu le livre et vu les différentes adaptations, mais je ne m'étais jamais intéressée à l'Appel de la forêt, jusqu'à ce que j'apprenne l'existence de cette nouvelle adaptation avec Harrison ford (oui c'est lui qui a fait la différence).
J'ai finalement beaucoup aimé ce film qui était vraiment très prenant. J'ai retrouvé des éléments caractéristiques du style Jack London et c'était très chouette.
Buck est terriblement attachant et même si on voit qu'il est fait à partir d'effets spéciaux, cela n'est finalement pas dérangeant.
J'ai finalement beaucoup aimé ce film qui était vraiment très prenant. J'ai retrouvé des éléments caractéristiques du style Jack London et c'était très chouette.
Buck est terriblement attachant et même si on voit qu'il est fait à partir d'effets spéciaux, cela n'est finalement pas dérangeant.
Comment vous dire...
Le premier film était déjà très émouvant, mais alors celui-ci... C'est simple, chez moi c'était les grandes eaux. Je ne pouvais pas arrêter les larmes de couler lors des dernières scènes. C'était plus fort que moi.
Il est donc évident que j'ai adoré ce film. C'était super attendrissant.
Le premier film était déjà très émouvant, mais alors celui-ci... C'est simple, chez moi c'était les grandes eaux. Je ne pouvais pas arrêter les larmes de couler lors des dernières scènes. C'était plus fort que moi.
Il est donc évident que j'ai adoré ce film. C'était super attendrissant.
The Favourite
Début du XVIIIème siècle. L’Angleterre et la France sont en guerre.
Toutefois, à la cour, la mode est aux courses de canards et à la dégustation d’ananas. La reine Anne, à la santé fragile et au caractère instable, occupe le trône tandis que son amie Lady Sarah gouverne le pays à sa place. Lorsqu’une nouvelle servante, Abigail Hill, arrive à la cour, Lady Sarah la prend sous son aile, pensant qu’elle pourrait être une alliée.
Abigail va y voir l’opportunité de renouer avec ses racines aristocratiques. Alors que les enjeux politiques de la guerre absorbent Sarah, Abigail quant à elle parvient à gagner la confiance de la reine et devient sa nouvelle confidente.
Cette amitié naissante donne à la jeune femme l’occasion de satisfaire ses ambitions, et elle ne laissera ni homme, ni femme, ni politique, ni même un lapin se mettre en travers de son chemin.
Vous le savez, j'aime autant les romans historiques que les films historiques. Lorsque j'ai vu la bande annonce de celui-ci, j'étais plutôt emballée. Surtout que j'adore Emma Stone !
Finalement, c'était vraiment très particulier. Je ne peux pas dire que j'ai aimé, mais je ne peux pas dire non plus que j'ai détesté. C'est très ambigu, je sais
La relation entre les trois protagonistes féminines est hyper particulière et malsaine et me mettait vraiment mal à l'aise.
Mais à côté de ça, j'ai aimé les joutes verbales entre Abigail et Lady Marlborough.
Un avis mitigé donc.
Finalement, c'était vraiment très particulier. Je ne peux pas dire que j'ai aimé, mais je ne peux pas dire non plus que j'ai détesté. C'est très ambigu, je sais
La relation entre les trois protagonistes féminines est hyper particulière et malsaine et me mettait vraiment mal à l'aise.
Mais à côté de ça, j'ai aimé les joutes verbales entre Abigail et Lady Marlborough.
Un avis mitigé donc.
Les séries que j'ai regardées
Grey's Anatomy
Meredith Grey fait son entrée en tant qu'interne en chirurgie au Seattle Grace Hospital. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que l'homme avec qui elle a couché hier soir est aussi... son boss, le "Docteur Mamour". On suivra ses aventures ainsi que celles des autres internes (Cristina Yang, Izzie Stevens, George O'Malley et Alex Karev). Dans un lieu où la vie et la mort sont si proches, l'amour devient omniprésent.
J'ai repris le visionnage de Grey's Anatomy avec les épisodes diffusés (normalement) chaque semaine à la TV, mais il faut dire que leur diffusion est plutôt alétoire.
J'ai cependant pu visionner 11 épisodes, ce qui est déjà pas mal.
A chaque fois, je me dis qu'à un moment je vais être lassée de cette série, étant donné que beaucoup d'acteurs du début laissent tomber leur rôle.
Mais finalement à chaque fois je me laisse prendre et je continue à suivre les péripéties de la série avec grand plaisir.
Et comme si cela ne suffisait pas, j'ai recommencé à partir de la saison 1, tout simplement parce que j'ai vu par hasard un épisode diffusé sur AB3.
Autant vous dire que c'était le début de la fin... Je suis replongée dedans jusqu'au cou !
J'ai cependant pu visionner 11 épisodes, ce qui est déjà pas mal.
A chaque fois, je me dis qu'à un moment je vais être lassée de cette série, étant donné que beaucoup d'acteurs du début laissent tomber leur rôle.
Mais finalement à chaque fois je me laisse prendre et je continue à suivre les péripéties de la série avec grand plaisir.
Et comme si cela ne suffisait pas, j'ai recommencé à partir de la saison 1, tout simplement parce que j'ai vu par hasard un épisode diffusé sur AB3.
Autant vous dire que c'était le début de la fin... Je suis replongée dedans jusqu'au cou !
Unorthodox
C'est drôle comme parfois tout se recoupe. Quelques semaines avant de voir cette série sur Netflix, ma collègue me parlait justement d'un roman qu'elle avait lu sur une communauté juive hassidique (Celui qui va vers elle ne revient pas, pour ceux que cela intéresse) et voilà que justement, ils sortent une série sur ce sujet.
J'ai globalement beaucoup aimé cette série. Elle montre la vie des gens au sein d'une culture que l'on connait assez peu et nous montre ses travers et ses bons côtés également.
J'ai éprouvé beaucoup d'empathie pour Esther qui est confiée à son rôle de femme, et qui ne peut rien entreprendre par elle-même et encore moins pour elle-même.
La série ne compte que quatre épisodes (d'une heure chacun) mais cela suffit amplement à nous faire passer par toutes une palettes d'émotions.
En plus, je viens de me rendre compte que j'avais déjà vu l'actrice Shira Haas dans le film The Zookeeper's Wife et je l'avais adorée !
Dans la ville d'Orario, nombres aventuriers intrépides partent à la conquête du sombre labyrinthe sous-terrain nommé Dungeon à la recherche de gloire et de fortune.
Mais alors que la richesse et la renommée promise est suffisante pour insister à l'exploration du Dungeon, Bell Cranel, qui pourrait devenir un héros extraordinaire, a des plans bien plus important : Il veut draguer des filles !
J'ai globalement beaucoup aimé cette série. Elle montre la vie des gens au sein d'une culture que l'on connait assez peu et nous montre ses travers et ses bons côtés également.
J'ai éprouvé beaucoup d'empathie pour Esther qui est confiée à son rôle de femme, et qui ne peut rien entreprendre par elle-même et encore moins pour elle-même.
La série ne compte que quatre épisodes (d'une heure chacun) mais cela suffit amplement à nous faire passer par toutes une palettes d'émotions.
En plus, je viens de me rendre compte que j'avais déjà vu l'actrice Shira Haas dans le film The Zookeeper's Wife et je l'avais adorée !
Outlander
Mais alors que la richesse et la renommée promise est suffisante pour insister à l'exploration du Dungeon, Bell Cranel, qui pourrait devenir un héros extraordinaire, a des plans bien plus important : Il veut draguer des filles !
Au début je me suis dit que j'allais attendre que toute la saison 5 soit disponible sur Netflix et puis finalement j'ai craqué et j'ai regardé le premier épisode.
Je dois avouer que je me suis ennuyée durant mon visionnage de celui-ci, mais j'ai tout de même poussé vers le 2 et le 3.
Mais finalement je m'ennuie toujours autant.
J'ai l'impression qu'il ne se passe rien d'intéressant et qu'on retombe finalement toujours dans les mêmes travers. Je pense savoir ce qu'il va se passer dans les épisodes suivants et je ne suis pas tellement emballée.
Du coup, je fais une pause et je regarde d'autres séries et films (coucou Grey's Anatomy) et je reprendrai plus tard.
Je dois avouer que je me suis ennuyée durant mon visionnage de celui-ci, mais j'ai tout de même poussé vers le 2 et le 3.
Mais finalement je m'ennuie toujours autant.
J'ai l'impression qu'il ne se passe rien d'intéressant et qu'on retombe finalement toujours dans les mêmes travers. Je pense savoir ce qu'il va se passer dans les épisodes suivants et je ne suis pas tellement emballée.
Du coup, je fais une pause et je regarde d'autres séries et films (coucou Grey's Anatomy) et je reprendrai plus tard.
Call the Midwife
East End, Londres, 1957. Sage-femme fraîchement diplômée, la jeune Jenny Lee s'apprête à entrer dans la vie active. Mais en lieu et place de l'hôpital où elle croit avoir été embauchée, c'est un couvent qui l'attend: Nonnatus House.
Elle va y découvrir l'âpre réalité d'un quartier défavorisé, mais aussi faire la connaissance de femmes qui sont de véritables héroïnes.
Elle va y découvrir l'âpre réalité d'un quartier défavorisé, mais aussi faire la connaissance de femmes qui sont de véritables héroïnes.
Je m'étais arrêtée à la saison 6, tout simplement parce que c'est la dernière qui a été traduite en français. Les autres épisodes sont en VO.
Mais en recommençant Grey's Anatomy, j'ai repensé à cette série et j'ai décidé de la regarder en VOSTFR.
Cela se passait bien durant la saison 7, mais pour la saison 8 j'ai vraiment beaucoup de mal, tout simplement parce que les sous-titres sont écrits avec les pieds !
Non mais franchement, j'ai l'impression que c'est Google Trad qui écrit les traductions (et quand j'y réfléchis, ce ne serait pas impossible).
Du coup, je ne prends pas autant de plaisir à la regarder, parce que je suis toujours en train de pester contre la très mauvaise traduction des sous-titre.
C'est juste abominable !
Pour vous dire, il sont même à traduire "Poplar" par "peuplier"... et "Midwife calling" par "Sage-femme appelant" Au secours !
Comment on peut être aussi peu doué en traduction ?? Parce que pour faire ça, je regarde en VO complète, ce sera moins perturbant.
Mais sinon, au niveau de l'histoire, j'aime toujours autant cette série. C'est instructif de voir comment les femmes vivaient leur grossesse et leur accouchement dans les années 60, les progrès de la médecine faits à cette époque et surtout la question des grossesse non-désirées et les avortements. C'est effrayant.
En bref, j'adore, mais je vais essayer de trouver un autre moyen de regarder les prochaines saisons, sinon je vais péter un câble !
Mais en recommençant Grey's Anatomy, j'ai repensé à cette série et j'ai décidé de la regarder en VOSTFR.
Cela se passait bien durant la saison 7, mais pour la saison 8 j'ai vraiment beaucoup de mal, tout simplement parce que les sous-titres sont écrits avec les pieds !
Non mais franchement, j'ai l'impression que c'est Google Trad qui écrit les traductions (et quand j'y réfléchis, ce ne serait pas impossible).
Du coup, je ne prends pas autant de plaisir à la regarder, parce que je suis toujours en train de pester contre la très mauvaise traduction des sous-titre.
C'est juste abominable !
Pour vous dire, il sont même à traduire "Poplar" par "peuplier"... et "Midwife calling" par "Sage-femme appelant" Au secours !
Comment on peut être aussi peu doué en traduction ?? Parce que pour faire ça, je regarde en VO complète, ce sera moins perturbant.
Mais sinon, au niveau de l'histoire, j'aime toujours autant cette série. C'est instructif de voir comment les femmes vivaient leur grossesse et leur accouchement dans les années 60, les progrès de la médecine faits à cette époque et surtout la question des grossesse non-désirées et les avortements. C'est effrayant.
En bref, j'adore, mais je vais essayer de trouver un autre moyen de regarder les prochaines saisons, sinon je vais péter un câble !
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