vendredi 30 octobre 2020

My other Addictions #71

 



Comme d'habitude pour ce rendez-vous mensuel, je vous parle des films et séries que j'ai récemment bingés 😉

Les films que j'ai vus chez moi

Enola Holmes

Enola, la jeune sœur de Sherlock Holmes, met ses talents de détective à l'épreuve pour tenter de retrouver sa mère disparue et déjouer une dangereuse conspiration.

J'avais adoré les adaptations BD, j'étais donc très impatiente de voir l'adaptation ciné. Même si pour le coup, j'étais un tantinet déçue parce que je pensais que l'adaptation se ferait en série. 
Cela aurait été plus logique, vu qu'il y a plusieurs tomes. Il y avait largement de quoi faire.

Cela dit, j'ai globalement été satisfaite de ce film. Je ne peux pas le comparer aux romans, puisque je ne les ai pas lus, mais par rapport à la BD, cela m'a semblé cohérent.
J'ai apprécié que ce soit Millie Bobby Brown qui interprète Enola. J'aime beaucoup cette jeune actrice et je trouve qu'elle était parfaite dans le rôle de la jeune sœur Holmes.
Henry Cavill était plutôt convaincant dans le rôle de Sherlock, il est assez ressemblant par rapport au personnage adapté/créé par Nancy Springer.

En conclusion, une adaptation réussie pour ce film.

The Green Mile

Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Gardien-chef du pénitencier de Cold Mountain en 1935, il était chargé de veiller au bon déroulement des exécutions capitales en s'efforçant d'adoucir les derniers moments des condamnés. Parmi eux se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide et timide aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts.

Je pense n'avoir vu ce film qu'une seule fois (si on ne compte pas cette fois-ci, évidemment) mais j'en gardais tout de même un souvenir assez précis.
Par contre, j'ai vu ce film lorsque j'avais 12 ou 13 ans, donc je n'avais pas compris tous les tenants et aboutissants de l'histoire à l'époque.
Ce revisionnage était donc une très bonne idée.

Cette histoire est toujours aussi bouleversante et bien amenée. Elle m'a une nouvelle fois profondément émue.

Togo

Le chien de traîneau Togo et son maître Leonhard Seppala participent à la course au sérum de 1925.

Tout le monde connaît l'histoire de Balto, ou tout du moins les adultes de ma génération (né à la fin des années 80 ou au début des énnée 90) ont-ils vu le dessin animé éponyme.
Ce qu'on ne sait pas en revanche, c'est que Balto n'a parcouru que les derniers kilomètres de la course au sérum, et que c'est un autre chien - Togo - qui a fait le plus gros du chemin.

Avant de voir ce film, je n'en avais jamais entendu parler et je trouve cela vraiment dommage étant donné ce que ce chien et son musher ont accompli. Que l'histoire ne  (presque) retienne pas leurs noms, je trouve cela particulièrement injuste.

Durant ce film, j'ai vraiment été entraînée par Sep et Togo, par la complicité qui les unit et par leur histoire atypique (romancée évidemment). D'ailleurs, après avoir vu ce film, je suis allée lire plusieurs articles à propos de Togo, pour avoir une idée plus précises des événements.

Bref, un film magnifique, à voir absolument !

Dikkenek

JC et Stef sont des amis d'enfance. Inséparables. JC est LE dikkenek belge, un donneur de leçon à cinq balles, un moralisateur, un tombeur de minettes, bref une grande gueule intégrale, coiffé comme un peigne. Stef est tout le contraire. Il cherche le Grand Amour, mais vu qu'il ne bouge pas de son lit, il va avoir du mal à trouver. JC lui explique donc la méthode : faire un sans-faute du point A jusqu'au point G. 
Entre ces deux points, JC et Stef vont croiser : Claudy, le directeur des abattoirs d'Anderlecht et photographe amateur (de chair fraîche), Greg, un bébé-manager vissé à son portable, Natacha, une nymphette désœuvrée, Fabienne, une pauvre petite fille de riches, Nadine, une institutrice qui préfère la schnouf aux tables de multiplication, ainsi que Laurence, une commissaire de police fâchée avec les conjugaisons, qui ponctue ses phrases à coups de gros calibre.

Tout le monde (ou du moins tous les belges) connaît Dikkenek ou tu du moins l'une ou l'autre de ses répliques... Sauf que moi, je n'avais jamais vu ce film.
J'ai donc du réparer cet affront en compagnie d'un ami, qui était étonné que je ne l'aie jamais vu.

Bon bah ok, je l'ai vu.
Franchement, je ne comprends pas l'engouement autour de ce film et je ne comprends pas les gens qui veulent le revoir une fois par an. Ok certains passages sont drôles (pas à se tordre non plus hein, mais ça passe) mais l'humour est quand même vachement lourd.
Alors voilà, maintenant je l'ai vu et je peux dire que je l'ai vu, mais je ne le regarderai pas une seconde fois.

Catch me if you can

Dans les années soixante, le jeune Frank Abagnale Jr. est passé maître dans l'art de l'escroquerie, allant jusqu'à détourner 2,5 millions de dollars et à figurer sur les listes du FBI comme l'un des dix individus les plus recherchés des Etats-Unis. 
Véritable caméléon, Frank revêt des identités aussi diverses que celles de pilote de ligne, de médecin, de professeur d'université ou encore d'assistant du procureur. 
Carl Hanratty, agent du FBI à l'apparence stricte, fait de la traque de Frank Abagnale Jr. sa mission prioritaire, mais ce dernier reste pendant longtemps insaisissable...

Je me souviens avoir été voir ce film à sa sortie au cinéma et m'être ennuyée devant. Cela dit, le film est sorti en 2003, j'avais 11 ans, je comprends qu'il m'ait laissée de marbre.
Du coup, quand on cherchait quoi regarder avec mon frère et que j'ai vu qu'il était dispo sur Netflix, il ne nous a pas fallu une minute pour décider qu'on allait le regarder.

J'ai été fascinée par l'ingéniosité de Frank Abagnale et par ce qu'il a entrepris. Ok c'était fait à mauvais escient, mais il faut quand même être sacrément culotté et intelligent pour penser à faire ça.
J'ai aussi adoré la relation qui se crée entre Frank et Carl, c'est plutôt atypique.
Et puis bon, joué par Di Caprio et Tom Hanks, ce film ne pouvait être que bon.

Je suis donc contente de l'avoir revu, car j'ai beaucoup mieux appréhender ce film que lorsque j'avais 11 ans (sans blague) et cela m'a permis de l'apprécier à sa juste valeur.


How to build a girl

En 1993, une jeune fille de 16 ans, mal dans sa peau mais brillante, issue de la classe ouvrière, décide de se réinventer en critique de rock vêtue d'un haut-de-forme à Londres.

J'ai vu la bande annonce totalement par hasard et j'ai tout de suite eu envie de voir ce film. J'ai adoré la personnalité pétillante de Johanna et son intrépidité, même si au fur et à mesure du film on se rend compte que le succès la change petit à petit.
Mais c'était vraiment un chouette film à voir. On entre facilement dans sa vie et son quotidien et on observe sa métamorphose, puis sa remise en question.
Et on voit aussi l'envers du décor du business de la musique.

Mr & Mrs Smith

Mr et Mrs Smith forment un couple tout ce qu'il y a de plus banal. Pourtant, Mr Smith est exécuteur pour une organisation secrète et Mrs Smith tueuse à gage vendant ses services aux plus offrants. 
Ignorant chacun les activités de leur cher et tendre, ils vont pourtant se retrouver en compétition sur un même "contrat". Comme quoi une scène de ménage au fusil mitrailleur c'est quand même plus fun qu'avec la vaisselle de Maman...

Je ne sais pas ce que j'ai en  ce moment avec les films plus anciens, mais j'ai une subite envie de revisionnage de film pas pris se tête.
Et c'est clairement le cas de celui-ci, qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais que j'ai eu envie de revoir. Cherchez pas, j'ai parfois du mal moi-même avec mon cerveau.

Donc voilà, j'ai revu Mr & Mrs Smith et cette fois-ci, je suis beaucoup moins convaincue. Bon il faut dire aussi que j'ai vachement évolué depuis que je l'ai vu pour la première fois, ça doit jouer.

Les séries que j'ai regardées

Emily in Paris
Saison 1

Emily Cooper, une Américaine d'une vingtaine d'années originaire du Midwest, part s'installer à Paris après avoir reçu une proposition d'emploi des plus inattendues. Son nouveau challenge : apporter un point de vue américain à une agence de marketing française en difficulté. 
Alors qu'un vrai choc des cultures l'attend, Emily va devoir jongler entre sa carrière, sa vie amoureuse, et de nouvelles amitiés naissantes.

Tout le monde en a récemment parlé, mais je vous avoue que j'étais passée un peu à côté, parce que je n'étais pas particulièrement intéressée. Mais j'ai décidé de me lancer, surtout parce que je n'avais plus rien à regarder.

Finalement, j'ai été agréablement surprise, mais c'est surtout parce que j'en attendais rien de particulier. Après, c'est clair que c'est totalement cliché et improbable !
Déjà le coup de voisin sexy et cuisinier, c'est trop beau pour être vrai, mais alors l'attitude de ses collègue de bureau... Wouaw !
Ok les parisiens sont réputés pour avoir un sale caractère, mais là j'ai trouvé ça plutôt exagéré. Ils ne font même pas semblant de l'apprécier et ne se cherchent même pas d'excuse, ils la traitent purement et simplement comme de la merde et lui font bien comprendre qu'elle les dérange.
Alors ok, ça s'améliore avec le temps, mais comme premier contact on a déjà fait mieux, non ?

Donc voilà, c'était sympa à regarder pendant une semaine, je regarderai probablement la saison 2, mais ce n'est clairement pas la série du siècle.

Good Girls
Saison 3
Episodes 1-8

Trois épouses et mères de famille de banlieue s'ennuient et jugent qu'il est temps pour elles de prendre des risques. Elles décident donc de braquer le supermarché local avec un pistolet pour enfants. Mais quand le responsable attrape l'une d'entre elles, les trois meilleures amies se rendent compte que la fuite parfaite sera plus compliquée que prévu...

Plus la série avance, plus je suis blasée en fait.
J'ai l'impression de tourner constamment en rond et que la fonds de l'histoire n'avance absolument pas. En plus ça part absolument dans tous les sens, j'ai vraiment du mal à m'accrocher.
Heureusement que je regarde ça en faisant mon sport et que donc je fais autre chose en même temps, sinon j'aurais vraiment l'impression de perdre mon temps.

Trinkets
Saison 2

Trois lycéennes que tout oppose : Elodie, la marginale, Moe, la délinquante et Tabitha, la populaire se rencontrent lors d'une séance des "Voleurs à l'étalage Anonymes". Contre toute attente, elles se lient d'amitié.

J'attendais cette saison 2 avec impatience, mais j'étais loin de me douter que ce serait la dernière. Je m'étais tellement attachée à ses trois jeunes femmes que j'avais envie que cette série dure plus longtemps.
Mais finalement je suis contente du dénouement de celle-ci et j'aime autant que cela se termine de manière logique et rapide, plutôt que de traîner en longueur et que cela devienne lassant.
On a la résolution de tous les problèmes et ça c'est top.
Le dernier épisode était particulièrement émouvant, je n'ai pas pu empêcher une petite larme de couler.

The Big Bang Theory
Saison 12

Leonard Hofstadter et Sheldon Cooper vivent en colocation et ce sont tous deux des physiciens surdoués, "geeks" de surcroît. Ils partagent quasiment tout leur temps libre avec leurs deux amis Howard Wolowitz et Rajesh Koothrappali pour, par exemple, jouer à Halo ou organiser un marathon des films Superman. Leur univers routinier est perturbé lorsqu'une jolie jeune femme, Penny, s'installe dans l'appartement d'en face. 

J'attendais que la dernière saison soit disponible sur Netflix pour la regarder et je m'en suis rendu compte totalement par hasard. Du coup je n'ai pas pu résister et je l'ai bingée en à peine une semaine !

Je suis triste de laisser partir ces personnages que j'adore et que je suis tout de même depuis plus de dix ans, mais toutes les bonnes choses ont une fin.
C'était vraiment une chouette série et une chouette conclusion !
J'ai même versé ma petite larme...

Ce que j'ai écouté

Suzanne: Toï Toï

La grosse révélation de ce moi-ci, ça aura tout de même été Suzane et son album !
Découvert grâce à des ami·es en début de mois, je ne peux absolument plus m'en passer et il ne se passe pas un jour sans que je fredonne l'une des chansons de l'album.
C'est bien simple, je l'écoute tellement que je connais déjà des chansons par cœur ! C'est dire...

Je suis fan de son univers, du mélange entre rap, pop et electro et évidemment des paroles de ses chansons qui sont plus que jamais d'actualité !
J'ai une nette préférence pour L'insatisfait, Suzane et SLT, mais j'aime vraiment toutes les chansons qui se trouvent sur cet album !

Si vous ne connaissez pas encore Suzane, je vous invite à la découvrir car cela vaut vraiment la peine ! Elle a également fait une chanson avec Grand Corps Malade pour son nouvel album Mesdames. Ça aussi c'est à découvrir !

4 commentaires:

  1. La ligne verte & Catch me if you can ❤
    J'apprécie également bien les chansons, engagés, de Suzane !

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    1. Ooooh contente de savoir que tu aimes Suzane aussi :D <3

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  2. Enola Holmes était sympa, je n'ai pas lu les BD ni les romans donc je n'avais pas d'attente. Dikkenek est particulier et sérieusement, y a des gens qui le regardent une fois par an ? ^^ J'ai eu du mal à accepter que TBBT soit terminé, j'ai pleuré comme un bébé lors du dernier épisode !

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    1. Oui, j'en connais quelques-uns... On connait tous des gens bizarres... :p :p
      Ouiiii, la fin de TBBT c'est dramatique ! J'adorais beaucoup trop cette série, je suis triste que ce soit fini.
      Mais bon, pour une fois la fin est pertinente ;-) <3

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